lundi 3 septembre 2012
Nous avons tous notre singularité, c’est ce qui fait que nous sommes uniques.
Cette singularité se caractérise par une multitude d’éléments qui peuvent se retrouver chez d’autres.
Nous sommes des héritiers, nous avons eu une famille. Notre statut actuel peut se caractériser sur de nombreux plans…
La société nous imprime des habitudes comportementales, des façons de penser.
Pour autant, nous ne sommes pas libres d’être comme bon nous semble. Au contraire, nos milieux d’appartenance nous font généralement savoir que nous avons à nous conformer à leurs propres habitudes, à leurs prescriptions et à leurs attentes.
Dès lors, plusieurs attitudes s’offrent à nous :
- Penser que la singularité se confond avec les habitudes de son milieu,(Les basques, les bourgeois etc.) qui peuvent alors être opposées aux habitudes d’autres milieux.
- Se conformer le plus possible, devenir transparent, quitte à en souffrir jusqu’à l’insupportable
- S’adapter, sans se renier
- Se rebeller en paroles/ ou en actes
- Se laisser mourir ou même se détruire.
L’alcool peut être présent dans ces divers cas de figure. Cependant, la décision de ne pas boire entraîne des changements. Certaines appartenances, ne serait-ce qu’à l’AREA, facilitent aussi des changements. Comment articulez-vous, sans alcool, la nécessité de vous conformer aux diverses contraintes et directives, votre besoin de révolte éventuel ? Avez-vous conscience de votre singularité ? La vivez-vous bien ? Si non, comment faites-vous, qu’envisagez-vous ? Quels sont les points forts de votre singularité ?