lundi 14 mai 2012

Un seul thème en cette semaine de l’Ascension

Ce samedi, je vais essayer de réaliser mon Toulouse - Leucate annuel et se faisant je jouirai d'une journée de silence, rehaussé par les coin-coin gutturaux des canards, les joyeux monologues des merles, les coassements des grenouilles ou autres crapauds et, peut-être, pour finir le crissement des cigales. Ce silence-là est bienfaisant.

Nous vivons à une période bavarde où la concision prend l’aspect de la langue de bois ou la pédagogie se sert des digressions non pour éclairer des problèmes sous un jour nouveau mais pour égarer. Le silence peut alors être le meilleur des argumentaires au flot d’inutiles paroles.

On peut, à l’inverse, repérer une grande variété de silences insupportables ou nuisibles.

Quelles sont les formes de silence qui vous sont bénéfiques et que vous recherchez ?

Quels sont les silences qui suscitent de la souffrance en vous? Quelles parades avez-vous trouvées face à ces silences ?