06 Mars 2023

Un des participants de l’HBA pose la question de l’aide à apporter aux proches bienveillants.

Dans le passé et pendant des années, nous avons assuré des séances mensuelles pour les proches demandeurs d’aide, sous la responsabilité d’un soignant qui en assurait la modération. Faute de reconnaissance et de moyens financiers, nous avons mis fin à cette prestation en 2017. Nous avions organisé, quelques années plus tôt, une conférence sur la thématique des familiers et nous pouvons mettre à disposition pour expliquer le phénomène de la codépendance affective un livret du Dr François Gonnet, un ami lyonnais.

Que pouvons nous proposer aujourd’hui, alors que l’attitude des pouvoirs publics est inchangée ? Notre principale préoccupation est de transmettre ce que nous pensons utile par le livre à paraitre et, plus encore, par le projet de livre numérique. Nous allons achever le premier bloc de séquence tournées. Une fois montées, nous avons l’intention de demander une aide financière adéquate aux différents partenaires publics et privés qui peuvent manifester un intérêt concret pour cette dernière initiative. Il est évident de toutes les rubriques concernant les proches feraient l’objet de séquences filmées.

Pour le temps qui reste, je propose, après la tenue de cette séance, de fixer une date de réunion pour les proches intéressés, par exemple, le jeudi. À charge pour eux de s’autogérer, en acceptant, si le concept leur convient, de payer une participation collective par séance.

Avez-vous dans votre entourage immédiat des personnes susceptibles de tirer avantage de ces séances de groupe qui auraient une valeur pédagogique et psychothérapique ? 

Quelles sont les principales contre-attitudes que vous avez relevé depuis le commencement de votre démarche de sobriété ?

Qu’avez-vous dit et fait pour prendre en compte les difficultés de vos proches ?