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Actualités

Éditorial de Janvier 2018

2018 newDu sourire et de la ‘‘sueur’’

L’intermède de fin d’année est achevé. Il a servi à se reposer, à prendre un peu de recul, à effectuer plus librement des tâches préparant des objectifs atteignables pour l’année à venir. La reconnaissance du C3A par les Pouvoirs publics est l’objectif n°1, même si nous n’avons pas la main pour la décision finale qui ouvrira ou fermera une porte. De nombreuses étapes intermédiaires devront être bouclées dans les prochaines semaines. En attendant, il faut continuer d’assurer correctement l’ordinaire en soutenant l’action de nos soignants et de nos aidants. Une satisfaction commence à poindre avec l’aboutissement des deux volumes des Clés pour l’après-alcool, une refonte complète de l’outil que nous avions proposé à la fin de 2011, outil épuisé depuis une grande année. Un autre sujet de satisfaction est le bon comportement d’ensemble de notre équipe, face aux difficultés rencontrées. D’autres satisfactions sont en préparation. Au fond, il suffit de se concerter pour ce qui convient et de travailler comme il convient.

Que cette année vous soit globalement douce, qu’elle soit la source de satisfactions profondes, qu’elle vous épargne malheurs et tristesse.

Editorial de Décembre 2017

Allez au cinéma !                                                

En ces journées courts, froids et pluvieux, aller au cinéma est une bonne alternative, une invitation à sortir, à se reposer des rituels de fin d’année.

De bons films sont proposés dans les salles obscures et nous avons aussi la possibilité d’en découvrir lors de notre atelier-cinéma mensuel.

Trois extraits de nos commentaires illustreront notre invite pour trois films :  Un homme intègre, de Mohamed Rasoulof (2017), Les Heures sombres, de Joe Wright (23017), Ma vie de courgette, de Claude Barras (2016). Le premier permet de réfléchir à la souplesse adaptive dans une société de contrôle social et de corruption. Le second met en valeur la résilience d’un peuple, incarnée par le saint-patron des alcooliques : Winston Churchill. Le troisième est centré dans l’enfance abandonnée, dans le contexte de la problématique alcoolique.

  1. « Un homme intègre »

Le film pose une question d’ordre éthique : jusqu'à quel point s’obstiner face à un pouvoir indifférent ou hostile ? Jusqu’à quel point s’adapter pour ne pas perdre son « âme », ou l’esprit d’un projet? Quels sont les armes et les accommodements que peut accepter un homme intégre dans une société dirigée et encadrée par des individus prisonniers consentants d’un système, quand sa survie ou la survie de ce qui lui tient à cœur est engagée ? Reza fait passer ses principes avant la prise en compte des réalités. Il fait supporter son intransigeance à ses proches. Il ne fait pas jouer son discernement. Hadis, comme la plupart des femmes, est plus réaliste. Son positionnement face à la mère de l’étudiante prend certainement en compte les règles du jeu.

Editorial de Novembre 2017

Ce sera le C3A ‘‘François Gonnet’’

​​​​​​​Notre centre d’accompagnement en psychopathologie alcoolique s’est donné un sigle, le C3A, ou centre d’accompagnement en alcoologie et addictologie, mais il n’avait pas de nom propre. Ce sera le C3A ‘‘François Gonnet’’.

Il y a longtemps, dans les années 90, j’avais répondu à une invitation de l’équipe d’alcoologie de Lyon. Un panneau discret confirmait que j’étais au bon endroit : C2A. Le docteur François Gonnet en était le praticien responsable, avec Alain Cattin, comme psychologue clinicien. J’avais retrouvé ce jour- là, pour un dialogue élargi, Daniel Settelen, psychiatre et psychanalyste, auteur d’un remarquable ouvrage comme expert judiciaire de l’affaire Jean-Claude Romand, une personnalité schizophrène, narcissique et clivée, auteure de l’assassinat de sa famille quand l’imposture de sa vie allait devenir publique.
Depuis longtemps déjà, François Gonnet avait laissé ses endoscopes de gastro-entérologue pour s’occuper à temps plein des personnes alcooliques qui séjournaient dans les services de médecine interne. Membre reconnu de la Société française d’alcoologie, il avait accepté de parrainer mon entrée dans la dite-société,avec l’appui parallèle d’un neuropsychiatre, clinicien et formateur éminent, le docteur Lionel Bénichou. Mon troisième parrain était en réalité une marraine, Annie Catel-Begin, également membre des Alcooliques anonymes et du conseil d’administration de la Société française d’alcoologie.

Editorial de Août 2017

Les moyens de l’ambition.

L’ambition des moyens.

La distinction entre la fin et les moyens se veut pragmatique : si quelqu’un, une association, ou une entité plus vaste, ne se donne pas les moyens de son ambition, elle finit par avoir l’ambition de ses moyens.

Le hasard a donné l’occasion de découvrir un film négligé : « L’enjeu », d’un fervent de la démocratie nord-américaine, Franck Capra. Le film sortit en salle de cinéma en 1946, quelques semaines après l’élection d’Harry S. Truman et les bombes d’Hiroshima et de Nagasaki. Cette œuvre tardive du réalisateur est d’une étonnante actualité. Elle peut ‘‘réveiller’’ toute personne, toute association ou toute autre entité, en rapprochant précisément la fin et les moyens.

Ce qui est déterminant, dans cette alternative, se situe dans la raison d’être et peut-être plus encore dans la façon de persister, parallèlement aux objectifs visés, atteints, ou manqués parce qu’inaccessibles à l’épreuve du réel.

Nous pouvons décliner ce préambule à la finalité de l’area, à ses objectifs, aux moyens indispensables, nécessaires et souhaitables, ce qui ouvre à une réflexion sur le budget à réunir pour persister, indépendamment de sa présentation comptable, claire pour ses experts, obscure pour l’adhérent ou le donateur.

Editorial de Juillet 2017

Etapes

En cette journée d’arrivée du Tour de France à Peyragudes, le titre n’a rien d’original. La montagne évoque, pour nous, l’alcoologie clinique : elle est riche de tournants, parfois piégeux, avec des étapes plus ou moins agréables, et des fins d’étapes qui permettent de reposer les corps endoloris.

Depuis des mois, l’AREA poursuit sa progression sur une route irrégulière, parfois accidentée, avec des risques de chute. Chaque progression donne la mesure de ce qui reste à parcourir.

Nous avons, ce mois-ci, mené à bien un objectif incontournable : la réalisation de petits dossiers destinés à la communication.

Il nous était demandé quelle était notre position en matière de prévention. Nous avons répondu par deux fiches : une brève, une autre un peu plus détaillée.

Plus d'articles...

  1. Éditorial de Juin 2017
  2. Éditorial de Mai 2017
  3. La prudence EDITORIAL d’AVRIL
  4. Après les journées d’alcoologie de Mars
  5. Editorial de Janvier 2017
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