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Les fiches cinéma

About Kim So-hee

Réalisation et scénario : July Jung

Date : 2022                Corée du Sud

Durée : 135 mn

Acteurs principaux :

Kim Si-eun : Kim So-hee

Bae Doo-na : Yoo-jin, inspectrice de police /

Shim Hee  :Shim, chef d'équipe du centre d'appels

Choi Hee-jin : Lee Bo-Ram, la cadre remplaçante

 A/ SA

Mots clés :

Travail – jeunes – soumission – révolte – suicide – mégamachine

 

aboutkimmsohee

 

Une lycéenne, Kim So-hee, effectue un stage en entreprise dans le cadre de sa formation professionnelle. Sa passion-défouloir est la danse, le hip hop, précisément. Elle a un copain et une meilleure amie sympathiques, qui ont également à trouver leur voie pour leur future vie d’adultes.

Son responsable d’études lui trouve une place au sein d’un centre d'appel d'un opérateur téléphonique, Korea Télécom. Il s’agit pour elle d’affronter les réclamations des clients, décidés à mettre un terme à leur contrat.

Elle découvre rapidement qu'il s'agit moins de satisfaire les doléances que d’embrouiller les clients pour les empêcher de résilier leur abonnement et si possible pour leur faire adopter des contrats avantageux… pour l’entreprise. Chaque employé dispose près de l’écran de pense-bêtes, de réponses et de suggestions toutes prêtes. Il est soumis à une double pression pour améliorer ses résultats : ceux-ci sont personnalisés et affichés, jour après jour, et il existe un classement des diverses équipes d’intervenants. La jeune fille ne tarde pas à manifester des signes de rejet pour les tâches assignées. Shim, son chef d’équipe essaie de l’encourager et de l’aider.

Les jours passent dans ce climat de tension, jusqu’au moment où Shim lui-même « pète un câble » face à un client irrespectueux. Peu après, le cadre se donne la mort dans sa voiture sur le parking de l’entreprise. Le suicide ne donne lieu à aucune enquête.

So-hee s’oppose violemment avec la nouvelle cheffe d'équipe, Lee Bo Ram, qui a remplacé le suicidé. So-hee est mise à pied trois jours. Elle s’isole, boit de la bière jusqu’à l’ivresse. Ses obligations scolaires l’empêchent de se mettre en maladie ou de démissionner, comme pourrait le faire un salarié. Elle se suicide en se jetant dans un lac. C’est la plus belle image du film : le scintillement de l’eau reflète le ciel parsemé de nuages. La décision du suicide, l’instant d’avant, est une façon d’éprouver la paix, de lâcher-prise.

Yoo-Jin, la policière chargée de l'enquête, pense d'abord classer l'affaire. C’est un suicide. Les parents abasourdis demandent une autopsie inutile. La présence de Yoo-Jin dans l’entreprise la conduit cependant à découvrir le suicide du chef d'équipe et la façon dont les employeurs ont étouffé l’affaire, avec l’arrogance de ceux qui ont le pouvoir. Yoo-Jin poursuit son enquête, en dépit de sa propre hiérarchie…

La violence d’entreprise et la conspiration du silence

Le propre de la plupart des films asiatiques est d’être un peu longs. Celui-ci dure un peu plus de deux heures. Il comporte deux parties : la marche de la jeune fille vers le suicide, l’enquête de la policière. Il évite les effets spéciaux et le mauvais goût. Il fait penser au phrasé des films de François Truffaut.

L’histoire montre le désarroi et la détresse d’une jeunesse à laquelle il est demandé de se soumettre, d’accepter des fonctions dédiées aux résultats financiers, au mépris de toute autre considération.

Le film montre donc la violence des rapports sociaux au stade du capitalisme financier.

La réalisatrice n’aborde cependant la seule violence managériale. Elle montre aussi la violence institutionnelle et la façon dont les instances de pouvoir imposent le silence. La police classe les affaires en ramenant les situations d’harcèlement à des défaillances individuelles. Yoo-Jin est tancée par son supérieur hiérarchique qui ne comprend pas son obstination. Elle s’oppose à lui comme Kim So-hee s’était opposée à la cadre de remplacement.

Dans notre pays, le droit du travail est plus consistant qu’en Corée du Sud. En revanche, la violence politique est plus manifeste, plus cynique. Et la violence institutionnelle est largement occultée.

La jeunesse est incitée à boire, à s’addicter. Elle n’a de perspective que celle de rentrer dans le moule. La jeune fille a également des accès de boulimie qu’elle donne elle-même en pâture à ceux qui regardent ses vidéos. Le smartphone est évidemment constamment présent. La soumission se décline à tous les échelons de la hiérarchie sociale. L’adaptation est plus ou moins confortable. Chacun a sa limite.

Le fait que l’histoire se déroule en Corée du Sud n’a rien d’exotique. Ce film rencontre notre expérience de toutes les manières. Nous avons subi et subissons jusqu’à la caricature la violence du système financier, politique, institutionnel, idéologique. À chacun de choisir ses réponses : la mise en conformité, la soumission passive ou active, la négation de soi, de l’autre et de l’éthique, le cynisme, les œillères, le refus de comprendre la réalité, les pétages de plomb, la violence aveugle, le suicide, à moins que, à moins de…

Observer, réfléchir, déconstruire les mensonges et les accommodements avec le réel, dire non, silencieusement, solidairement, entrer en résistance puis dire les choses, ne rien laisser passer quand l’occasion se présente. C’est une jeune collègue de l’héroïne qui signale à la policière le suicide du cadre qui a cessé d’être dynamique pour avoir retrouvé, à l’usure, son humanité. C’est l’épouse de ce dernier qui avoue à la policière qu’elle a reçu de l’argent pour ne pas faire d’histoire et s’occuper désormais seule de leur enfant. Le suicide de la jeune fille est moins un drame qu’une protestation silencieuse face à un ordre absurde, violent, injuste et mortifère.

Jusqu’à quand allons-nous laisser la Méga-machine détruire la jeunesse, les gens et la planète ?

Bienvenue à Gattaca

 

Réalisation : Andrew Niccol

Scénario : Andrew Niccol

Date : 1997    USA         Durée :   ? mn

 

Acteurs principaux :

Ethan Hawke : Vincent Freeman

Uma Thurman : Irène

Jude Law : Jérôme Eugène Morrow

Loren Dean : Anton Freeman, frère de Vincent

SA

Mots-clés : Eugénisme – Scientisme – Adulescence – Symbolique de l’Espace – Volonté

 gattaca

Pour les amateurs d’acronymes d’inspiration scientifique, le nom Gattaca est formé des 4 lettres G, A, T et C en référence aux quatre acides nucléiques constitutifs de l’ADN. : guanine, adénine, thymine et cytosine.

L’action se passe, évidemment, aux USA, centre du monde pour ses habitants. L’histoire se situe dans un proche futur. L’ordre social incontesté est assuré par un eugénisme rigoureux. Il n’y a plus d’oppositions liées aux croyances, aux origines identitaires, aux différences de revenus… L’eugénisme fonde l’ordre social. Les fécondations ont lieu en laboratoire à partir de gamètes sélectionnés face à un généticien par le couple parental, car il existe encore des couples parentaux.

Le scénario du film est d’une rare invraisemblance : Jérôme, un produit humain génétiquement parfait est paraplégique, après un suicide raté.  Champion de natation, il finissait toujours second. Depuis, il noie son désarroi en picolant. Vincent issu d’une relation parentale naturelle, donc génétiquement imparfait, va prendre l’identité génétique de Jérôme par une succession de subterfuges très contraignants, pour réaliser son rêve : devenir astronaute. Il rejoint ainsi Gattaca, un centre de recherches spatiales. Il réussit les épreuves de sélection. Il est retenu pour partir pour Titan. Les choses se compliquent. Il retrouve dans ce centre son jeune frère, Anton. Celui-ci a été conçu, scientifiquement. Dans leur adolescence, Anton était plus fort que Vincent en natation. Ils avaient une conduite ordalique qui consistait à nager le plus loin possible vers le large, le perdant étant celui qui rebroussait chemin le premier. On retrouve la conduite ordalique de La fureur de vivre qui fit une icône de James Dean.

Intervient l’indispensable romance. Irène fait partie du personnel de Gattaca. Bien que génétiquement sélectionnée, elle a une petite imperfection cardiaque, qui la complexe par rapport au faux Jérôme qu’elle croit parfait. A défaut de lettres d’amour, ils échangent leurs cheveux. Jérôme lui montre qu’il se moque du cheveu donné par Irène, après qu’elle se soit livrée à l’analyse d’un cheveu de Jérôme pour entretenir l’illusion de sa perfection de son amoureux. A cette époque, les histoires d’amour sont tirées par les cheveux.

Et voilà que le directeur de mission est assassiné : son crâne a été fracassé par un ordinateur. Cet acte très violent ne peut avoir été commis par un membre de Gattaca. L’inspecteur, fin limier, enquête. Jérôme/Vincent pète un câble car il est génétiquement imparfait. Le coupable est identifié. L’enquête avait négligé qu’un meurtre peut avoir une explication très rationnelle et s’éloigner des considérations morales.

Après avoir avoué la vérité à Irène, Vincent se réconcilie avec elle. Il fait également la paix avec son frère, Anton, après que ce dernier perde la dernière course ordalique en mer. Vincent prouve ainsi que la volonté triomphe des imperfections génétiques.

Vincent peut partir pour Titan, laissant là Irène et Jérôme, grâce à la complicitè secrète du docteur Lamar chargé des contrôles. Il avait identifié l’imposture de Vincent mais il n’avait rien dit car son propre fils avait subi les affres de la sélection. Ce bon docteur a deux répliques étonnantes. Au commencement du film, il fait une remarque élogieuse sur la dimension du sexe de Vincent, dénudé par l’examen. Avant l’envol, le docteur lui dit : « Mon fils vous admire beaucoup ». Ce dernier aurait voulu être admis à Gattaca, un jour. Hélas, il ne répond pas aux critères.

Vincent rejoint ses collègues, aussi expressifs que des robots dans la fusée. Jérôme se suicide dans son incinérateur domestique, où sa médaille d'argent vire à l'or grâce aux flammes. Pendant le décollage, Vincent ouvre l'enveloppe, aussi à l’aise que dans un fauteuil de salon. Il y trouve une mèche de cheveux de Jérôme. Il la conserve, afin de se souvenir de l'homme qui lui a permis de réaliser son rêve.

Perplexité

Les images du film sont belles. La musique plutôt réussie. Nous ne sommes pas loin du Meilleur des Mondes d’Huxley. Vincent a encore le sourire de l’inoubliable Todd Anderson du Cercle des poètes disparus.

Comment est-il possible de produire et de diffuser un tel film ? Et pour quelles finalités ? S’extraire de la planète, plutôt que s’en occuper ? Participer à l’effacement du sens critique ? Nous faire oublier nos petites misères et frustrations quotidiennes ?

La science fiction la plus ridicule se mélange à une bluette insipide, anecdotique, à une rivalité de frères. Le flic tenace n’est pas oublié, pas plus que le docteur qui a tout compris.

L’idéologie de la compétition et de la sélection est donnée comme référence. Un abruti ne se console pas d’avoir eu la médaille d’argent lors d’une compétition, plutôt que l’or, seul objet de son désir. Il en est devenu alcoolique, le pauvre, malgré la sélection génétique. Nul ne sait comment s’est forgée une amitié d’une telle force entre Vincent et Jérôme. Prélever régulièrement son sang et mettre ses urines au frigo pour satisfaire le désir d’espace d’un autre n’est pas à la portée d’un homme quelconque.

Vincent incarne le triomphe de la volonté. Nietszche revu par un adulescent.

La quête de l’espace remplace-t-elle désormais celle du Dieu anglo-saxon ? Dieu, l’idéal de perfection, est à rechercher dans l’ADN.

On peut se poser la question du rapport aux addictions et de la maturité cérébrale du scénariste. Encore un qui a échappé à la sélection génétique !

 

Mustang

Réalisation et scénario :

Deniz Gamze Ergüven

Date : 2015

France – Allemagne – Turquie - Qatar

Durée : 97 mn

Acteurs principaux :

Güneş Şensoy, Lane, la petite sœur
Doğa Zeynep Doğuşlu : Nur, celle qui dit non
Tuğba Sunguroğlu : Selma, seconde épousée
Elit İşcan : Ece, celle qui se suicide
İlayda Akdoğan : Sonay, la soeur aînée
Ayberk Pekcan : Erol, l’oncle incestueux
Nihal Koldaş : la grand-mère

SA/ HA

Mots clés :  Phallocratie − Paternalisme – Mœurs religieuses – Fraternité - Résilience

mustang

Cinq sœurs orphelines sont élevées par leur grand-mère dans un village du nord de la Turquie, à 1000 km d'Istanbul. Le dernier jour de l'année scolaire, elles rentrent chez elles par le bord de mer, en compagnie de camarades de classe. Apparemment, il s’agit d’une école de standing, car garçons et filles portent une tenue élégante. Juchées sur les épaules des garçons, elles s'affrontent pour se faire tomber à l'eau tout habillées. Les ragots du village les précèdent chez elles. Leur jeu innocent a été jugé obscène. L'oncle Erol — très à cheval sur un patriarcat qui se drape de morale et de religion — reproche à sa mère (la grand-mère des filles) une éducation trop laxiste. Les aînées doivent subir à l'hôpital un examen d'intégrité hyménéale. Et la demeure se transforme peu à peu en prison : murs d'enceinte rehaussés, portes fermées à clef, barreaux aux fenêtres, plus d'école, plus d'ordinateur, plus de téléphone, mais des cours de cuisine et de ménage.

La benjamine, Lale, sollicite de l'oncle Erol l'autorisation de l'accompagner à un match de football. Erol refuse. Comme des violences entre supporters ont émaillé une précédente rencontre, la Fédération de Turquie de football décide que le prochain match sera joué non pas à huis clos, mais devant un public exclusivement féminin. Les cinq filles font le mur et réussissent à gagner le stade en car. Cependant, à la maison, les hommes se disposent à regarder le match à la télévision. Dans la cuisine, il y a également un téléviseur, et les femmes ont la surprise de voir les filles apparaître sur l'écran. Une tante a le réflexe de faire sauter les plombs de la maison. Puis, à coups de pierre, elle fait disjoncter un transformateur, privant tout le village d'électricité.

Si le pire a été évité, puisque les hommes et le voisinage n'ont rien su, les conséquences vont quand même être lourdes pour les cinq sœurs. On leur confectionne des robes informes « couleur de merde3 ». Leurs mariages vont être arrangés, tour à tour.

L'aînée, Sonay, première concernée, tient bon. Elle menace de faire un scandale si on ne la laisse pas épouser Ekin, son petit ami. Soit-dit en passant, pour se présenter vierge la nuit de noces, tache de sang sur le drap nuptial vérifiée par la famille du garçon, elle se laisse « prendre par derrière ».

Selma, la deuxième, se laisse marier à Osman, un garçon qui ne lui plaît pas du tout. Durant la nuit de noces, la famille d'Osman tambourine à la porte de la chambre pour contrôler le drap nuptial. Il n’y a pas la moindre trace de sang sur le drap. Le père entraîne sa bru à l'hôpital pour un contrôle. Il s'avère que l'hymen est toujours intact. Le gynécologue donne une explication médicale qui rassure tout le monde.

Ece devient boulimique et finit par se suicider. L’oncle si intransigeant sur la moralité musulmane la violait. Lale est déterminée à s'enfuir vers Istanbul, où se trouve une institutrice aimée. Elle apprend à conduire en cachette avec la complicité de Yasine, un chauffeur-livreur. C’est lui qui avait permis aux filles de rejoindre le car qui conduisait les filles au match de foot. Des barreaux aux fenêtres sont ajoutés : sortir de la maison est devenu impossible.

Depuis qu'Ece s'est suicidée, le vertueux oncle satisfait ses besoins sexuels sur Nur. Le soir du mariage de cette dernière, Lale encourage Nur à se révolter et les deux sœurs se barricadent dans la maison.

La grand-mère est débordée. Le scandale est patent. L’oncle Erol devient fou de rage. Il tente par tous les moyens de s'introduire dans la maison. Lale réussit à joindre Yasin par téléphone avant que la communication ne soit coupée . Les deux filles réussissent à fuir avec la voiture d'Erol mais au premier virage, celle-ci finit dans un talus. Quelques minutes plus tard Yasine vient les chercher et les conduit à la gare routière. Elles réussissent à gagner Istanbul, en bus après avoir pris l’argent trouvé dans la maison. Elles se rendent chez Dilek, leur ancienne maîtresse d'école. Fin de l’histoire.

La phallocratie au pouvoir

Le contraste entre les 5 sœurs de l’histoire, pleines de vie, et la saloperie de leur oncle incestueux souligne le caractère insupportable de la phallocratie renforcée par des mœurs religieuses. Celles-ci réduisent les femmes à des domestiques et des objets de satisfaction sexuelle. De telles mœurs perdurent sur notre sol, par la vertu du mondialisme, sans oublier la pratique des excisions de clitoris chez certains peuples qui se réfèrent à des croyances tolérées et relativisées par une conception complaisante de la laïcité. Internet contribue, de son côté, sans besoin de croyances archaïques, à maintenir les humains au niveau de la consommation sexuelle au prétexte de liberté.

La bêtise des supporters mâles est soulignée au passage. L’histoire du match interdit aux hommes est vraie.

L’alcool est absent de ce monde qui camoufle un système d’oppression au nom d’une croyance confortée par des traditions. A noter qu’une des jeunes filles abusées par l’oncle a une conduite boulimique, avant de se suicider, quand l’heure fatidique du mariage et la révélation de la « faute » approchent. La spiritualité et l’éthique sont absentes. Restent la résilience et ce qu’elle suscite comme rébellion pour échapper à l’asservissement. De ce point de vue, Lane, la plus jeune, pas encore pubère, est une petite héroïne, à l’image d’une Wadjda (film d’inspiration analogue en Arabie Saoudite).  

Une des leçons indirectes du film, au-delà de la condition féminine, est que l’incurie maquillée en morale justifie de se rebeller, de faire un pas de côté, d’entrer en résistance.

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